Notre aventure

LA BRETAGNE…ÇA COMMENCE ICI

Les ateliers où sont élaborées les recettes du Père Eugène, sont implantés à Binic, aussi surnommée le grain de beauté des Côtes d’Armor, lieu d’importance dans l’épopée de la grande pêche.

Binic fut reconnu 1er port français en 1845 et 1847 avec une flottille de 37 navires !

Les marins binicais partaient pêcher la morue (le cabillaud qui, pour être conservé, était immédiatement salé, prenant alors la dénomination de ‘morue’), dans les eaux froides d’Islande et de Terre-Neuve. Au plus fort de l’activité, 1700 marins embarquaient pour une campagne de plus de 6 mois, au péril de leur vie.

Cette activité déclinera ensuite : le dernier bateau envoyé sur les bancs depuis Binic partira en 1925.

Dans les années 1970, ce fut la belle aventure de la pêche à la coquille au sein de la baie de Saint-Brieuc, un des gisements des plus productifs des côtes françaises. Au plus fort de cette époque, on comptait une centaine de coquilliers ancrés à Binic. 

Boutique Binic
Le port de Binic
Le découpage de la morue à bord

Plus récemment s’est développée la pêche à la coquille Saint-Jacques, spécialité de la baie de Saint-Brieuc, que Le Père Eugène utilise génereusement dans ses fameuses rillettes aux noix de st-Jacques de la baie.

Durant des décennies, le port de Binic connu un essor grâce au commerce de la morue et depuis 20 ans, « la morue en fête » attire plus de 50 000 visiteurs sur les quais de Binic le temps d’un week-end !

Expositions, spectacles, sorties en mer, ateliers de matelotage y sont proposés au milieu des vieux gréements. Cette fête est aussi l’occasion de découvrir les différentes façons de cuisiner la morue.

Le patrimoine culinaire biniquais avec sa tradition morutière est remis à l’honneur.

Les produits sélectionnés par Le Père Eugène sont à son image : Authentiques. Pour vous, il fait le pari du goût et redonne à la gastronomie bretonne ses couleurs !

Le Père Eugène est toujours à la recherche d’ingrédients simples et sains, il sait d’où provient chaque aliment et les qualités qui lui sont propres.

Pour le Père Eugène, l’élaboration d’une rillette au thon ou d’une soupe de poissons commence bien avant sa préparation. Dès le marché, le Père Eugène choisit, compare, déguste…

Il veut le meilleur pour faire ressortir le goût et la texture unique de chaque espèce de poisson qu’il connait sur le bout des doigts !

Dans ses ateliers, sa soupe riche en poissons mijote longtemps, longtemps… un fumet unique s’en dégage.

On dit que le Père Eugène a des secrets, mais ne serait-ce pas simplement qu’il n’est pas pressé…

Il prends le temps de cuisiner des produits beaux et choisis, qui finiront empilés soigneusement en autant de conserves qui donneront le goût du large aux gourmets !

Le Père Eugène achète son poisson au meilleur moment de la saison et hors période de reproduction, parce que ce qu’il veut, c’est un poisson bien charnu et de première fraîcheur.

Il sait l’apprécier à l’oeil, il part à la pêche aux informations pour juger de sa qualité sur l’étal !

Les sardines, pêchées au large des côtes bretonnes, feront d’excellentes rillettes…un régal pour les papilles !